« Extravagant », « bizarre », « étrange génie discordant », tels sont les termes retenus par les écrivains français Théophile Gautier ou Maurice Barrès redécouvrant au XIXe et au XXe siècle, lors de voyages en Espagne, un obscur peintre du Siècle d’or espagnol, surnommé le « Greco », reconnu de son vivant, puis tombé dans l’oubli.
L’artiste fascine par son univers pictural singulier, son art étrange, peuplé de figures allongées, habillées de couleurs incandescentes, réminiscences d’un court passage par Venise. Un art irréaliste, empreint dans bien des œuvres d’un mysticisme fiévreux, expression d’un monde intérieur d’une grande richesse, où le divin et l’invisible prennent forme.
Greco n’est en réalité pas espagnol, mais crétois. Comment est-il donc passé des icônes de la plus pure tradition byzantine aux poses figées, à une peinture maniériste aux rythmes fougueux, considérée au xxe siècle comme d’une absolue modernité, et source d’inspiration pour Modigliani, Picasso ou Bacon ?
Pour comprendre ce cheminement artistique, conduit au prix d’un incessant combat de Greco pour que sa peinture soit reconnue de son vivant, Anne-Sophie Molinié nous invite à suivre les pas du peintre, de la Crète à Venise, puis à Rome et enfin à Tolède, au cœur du royaume de Philippe II.
L’artiste fascine par son univers pictural singulier, son art étrange, peuplé de figures allongées, habillées de couleurs incandescentes, réminiscences d’un court passage par Venise. Un art irréaliste, empreint dans bien des œuvres d’un mysticisme fiévreux, expression d’un monde intérieur d’une grande richesse, où le divin et l’invisible prennent forme.
Greco n’est en réalité pas espagnol, mais crétois. Comment est-il donc passé des icônes de la plus pure tradition byzantine aux poses figées, à une peinture maniériste aux rythmes fougueux, considérée au xxe siècle comme d’une absolue modernité, et source d’inspiration pour Modigliani, Picasso ou Bacon ?
Pour comprendre ce cheminement artistique, conduit au prix d’un incessant combat de Greco pour que sa peinture soit reconnue de son vivant, Anne-Sophie Molinié nous invite à suivre les pas du peintre, de la Crète à Venise, puis à Rome et enfin à Tolède, au cœur du royaume de Philippe II.
En savoir plus
Greco n’est en réalité pas espagnol, mais crétois. Comment est-il donc passé des icônes de la plus pure tradition byzantine aux poses figées, à une peinture maniériste aux rythmes fougueux, considérée au xxe siècle comme d’une absolue modernité, et source d’inspiration pour Modigliani, Picasso ou Bacon ?
Pour comprendre ce cheminement artistique, conduit au prix d’un incessant combat de Greco pour que sa peinture soit reconnue de son vivant, Anne-Sophie Molinié nous invite à suivre les pas du peintre, de la Crète à Venise, puis à Rome et enfin à Tolède, au cœur du royaume de Philippe II.
Date de parution : 2019
ISBN : 9782915398212
38 illustrations 170 g 15 x 21 cm 64 pages
Thème(s) : Espagne | Icônes | peinture | Philippe II | Tolède